Retour à Monde


Il est midi, il fait chaud. Je marche dans les rues de Palmarin avec Maëlle.
Nous décidons de nous asseoir près de la place du village, ou les vieux palabrent à l'ombre d'un kiosque.
Nous commençons à peindre. Comme d'habitude, ce sont les enfants qui viennent nous voir en premier,
puis les adultes cèdent à la curiosité. En quelques minutes, le kiosque se transforme en salle d'exposition.
Un des vieux nous invite alors à venir manger chez lui.