Je visite le palais à l'intérieur du fort de Jodhpur. Chaque pièce est décorée somptueusement. J'admire la finesse du travail, mais chacune de ces fenêtres me rappelle la vie recluse des trois cents femmes du Maharajah. L'audioguide me dit que le rire de ces femmes rebondissait autrefois sur le marbre blanc des murs du palais.
Je reste un peu sceptique quant à la constante bonne humeur de femmes privées de liberté et surveillées
par des eunuques.